Selon Philippe Colombani de l’UNIC, 200 000 Français seraient actuellement dans l’attente d’un examen du permis de conduire et alors que le calendrier provisoire de réouverture de toute la filière a été dévoilé le 30 avril 2020 sans absolue certitude.
Lundi 11 mai 2020
Réouverture des auto-écoles et reprise des cours de conduites.
Cette reprise semble acquise pour les départements « verts », mais reste à préciser les départements orange ou rouge ou un accord préfectoral pourrait être nécessaire.
Cette reprise semble acquise pour les départements « verts », mais reste à préciser les départements orange ou rouge ou un accord préfectoral pourrait être nécessaire.
Lundi 18 mai 2020
Reprise des examens du permis moto A1 / A2 et Poids-Lourds et aussi bien pour les épreuves sur plateau qu’en circulation et pour les départements classés verts et au cas par cas pour les autres.
À noter que les épreuves du permis moto seront allégées et ramenées à 12 minutes pour le plateau et à 36 minutes pour la circulation. Les permis EB (remorque) pourront également êtres réalisés à partir du 18 mai.
À noter que les épreuves du permis moto seront allégées et ramenées à 12 minutes pour le plateau et à 36 minutes pour la circulation. Les permis EB (remorque) pourront également êtres réalisés à partir du 18 mai.
Lundi premier juin 2020
Reprise des examens du permis auto BReprise des examens du Code de la route ETG auprès des codeurs privés mais avec une organisation spécifique.
En vert, en rouge, ou en orange des différences importantes d’un territoire à l’autre
La reprise fixée au 11 mai -le fameux dé confinement- sera donc à la fois très partiel tant au niveau géographique que pratique en réalité. À ce jour il semble plus juste de parler d’une reprise le premier juin, laissant ainsi la filière en off pendant deux mois et demi, ce qui va engendrer le retour de la pénurie des places d’examen, mais aussi provoquer la faillite de nombreuse auto ou moto écoles. Évidemment dans les zones en tension fortement impactée par la crise sanitaire et en premier lieu Paris, mais aussi les hauts de France et le Grand Est, la situation risque d’être encore plus catastrophique.