Une voiture GPL demande un entretien spécifique pour, justement, son installation spécifique.
Cet entretien reste assez simple et s’additionne aux opérations de maintenance classiques pour une voiture essence.
Un GPL parfaitement entretenu est déjà à la base une voiture parfaitement entretenue.
Pour le système GPL en lui-même, les deux choses importantes restent la qualité du circuit d’alimentation de gaz et ensuite sa parfaite mise au point.
Cet entretien reste assez simple et s’additionne aux opérations de maintenance classiques pour une voiture essence.
Un GPL parfaitement entretenu est déjà à la base une voiture parfaitement entretenue.
Pour le système GPL en lui-même, les deux choses importantes restent la qualité du circuit d’alimentation de gaz et ensuite sa parfaite mise au point.
La première révision
La première révision est la plus importante, elle permet notamment la vérification de la qualité de l’installation entre autres au niveau de tous les raccords.
Cette opération est à réaliser après les 2 000 premiers kilomètres.
Elle permet également de vérifier le parfait fonctionnent du calculateur électronique et de la sonde lambda afin d’assurer une faible consommation de gaz et des performances optimales.
Enfin lors de cette première révision, l’installateur procède généralement au re-tarage de la pression du détendeur après une période de rodage.
Cette opération est à réaliser après les 2 000 premiers kilomètres.
Elle permet également de vérifier le parfait fonctionnent du calculateur électronique et de la sonde lambda afin d’assurer une faible consommation de gaz et des performances optimales.
Enfin lors de cette première révision, l’installateur procède généralement au re-tarage de la pression du détendeur après une période de rodage.
Filtres et vidange du circuit de gaz
Le circuit de GPL possède un filtre dit « basse pression » généralement placé dans le compartiment moteur. Ce filtre est à remplacer tous les 30 000 kilomètres.
Tous les 60 000 kilomètres, il est également recommandé de procéder au remplacement des filtres de l’électrovanne sur les systèmes d’injection gazeuse.
Pour les systèmes plus anciens, une purge du détendeur est alors recommandée tous les 30 000 kilomètres.
Tous les 60 000 kilomètres, il est également recommandé de procéder au remplacement des filtres de l’électrovanne sur les systèmes d’injection gazeuse.
Pour les systèmes plus anciens, une purge du détendeur est alors recommandée tous les 30 000 kilomètres.
Soupapes à vérifier à 15 000 kilomètres
Le point sensible sur un moteur transformé au GPL reste la culasse et les soupapes. Certains constructeurs proposent des culasses renforcées pour ses modèles GPL en première monte.
Après toute transformation au gaz, il est important de vérifier l’état de la culasse et plus particulièrement des soupapes et sièges de soupapes par un réglage des jeux.
Cette opération est à effectuer chez un garagiste, mais elle est indispensable pour assurer la longévité du moteur.
Avec les systèmes d’injection de GPL modernes et la qualité des moteurs récents, ces problèmes de distribution sont désormais rares, cette opération se résume simplement aux relevés des jeux aux soupapes.
Après toute transformation au gaz, il est important de vérifier l’état de la culasse et plus particulièrement des soupapes et sièges de soupapes par un réglage des jeux.
Cette opération est à effectuer chez un garagiste, mais elle est indispensable pour assurer la longévité du moteur.
Avec les systèmes d’injection de GPL modernes et la qualité des moteurs récents, ces problèmes de distribution sont désormais rares, cette opération se résume simplement aux relevés des jeux aux soupapes.
Bougies et lubrifiants : faites le bon choix
L’utilisation de consommables de qualité est aussi fortement recommandée, notamment pour les bougies. Sur ce point, l’utilisation de modèles pour le GPL permet d’optimiser la combustion du gaz grâce à des électrodes spécifiques en iridium.
NGK et Bosch proposent notamment des bougies spécialement étudiées pour assurer la qualité d’allumage dans le temps et permettre ainsi une plus grande longévité.
L’utilisation de bougies standards reste possible, mais les spécialistes GPL recommandent de procéder à leur remplacement plus souvent.
Par exemple, avec une préconisation constructeur tous les 60 000 kilomètres pour un fonctionnement essence, dans le cadre d‘une utilisation GPL il est préférable de ne pas dépasser les 30 000 kilomètres.
L’autre point sensible est la lubrification du moteur. Il n’existe pas d’huile spécifique « GPL », en revanche l’utilisation d'un lubrifiant haut de gamme entièrement synthétique et non minéral est également fortement recommandée pour ses performances sous hautes températures.
NGK et Bosch proposent notamment des bougies spécialement étudiées pour assurer la qualité d’allumage dans le temps et permettre ainsi une plus grande longévité.
L’utilisation de bougies standards reste possible, mais les spécialistes GPL recommandent de procéder à leur remplacement plus souvent.
Par exemple, avec une préconisation constructeur tous les 60 000 kilomètres pour un fonctionnement essence, dans le cadre d‘une utilisation GPL il est préférable de ne pas dépasser les 30 000 kilomètres.
L’autre point sensible est la lubrification du moteur. Il n’existe pas d’huile spécifique « GPL », en revanche l’utilisation d'un lubrifiant haut de gamme entièrement synthétique et non minéral est également fortement recommandée pour ses performances sous hautes températures.
Le contrôle technique
Le contrôle technique pour les voitures GPL comporte deux particularités soumises à vérification avec d’une part la conformité de l’énergie mentionnée sur la carte grise (E/G), et d’autre part la conformité du réservoir et des équipements de sécurité pour les véhicules équipés avant 2000.
Le réservoir
Avec des installations anciennes (avant 2000), le réservoir indique une date d’utilisation limite.
Dans ce cas, il faut faire une épreuve ou procéder à son remplacement. Votre installateur GPL peut vous guider dans cette opération.
Néanmoins, dans bien des cas le réservoir ancien ne satisfait pas à l’épreuve de pression. Le remplacement du réservoir est donc préférable.
De plus, un nouveau réservoir est désormais homologué pour la vie du véhicule, comptez entre 600 et 800 euros pour l’opération.
Donc attention, si vous achetez un GPL d’occasion, vérifiez bien ce point, sans quoi l’obtention du contrôle technique est impossible.
Dans ce cas, il faut faire une épreuve ou procéder à son remplacement. Votre installateur GPL peut vous guider dans cette opération.
Néanmoins, dans bien des cas le réservoir ancien ne satisfait pas à l’épreuve de pression. Le remplacement du réservoir est donc préférable.
De plus, un nouveau réservoir est désormais homologué pour la vie du véhicule, comptez entre 600 et 800 euros pour l’opération.
Donc attention, si vous achetez un GPL d’occasion, vérifiez bien ce point, sans quoi l’obtention du contrôle technique est impossible.
Ne roulez pas avec un réservoir d’essence vide !
Préférez toujours garder la possibilité de la bi-carburation, notamment pour assurer les démarrages.
De plus, les circuits d’alimentation en essence ne se coupent généralement pas avec un réservoir à sec et sollicitent en permanence les pompes qui tournent à vide.
Pour toutes ces raisons, il est préférable de laisser au moins un ¼ d’essence dans le réservoir.
Préférez toujours garder la possibilité de la bi-carburation, notamment pour assurer les démarrages.
De plus, les circuits d’alimentation en essence ne se coupent généralement pas avec un réservoir à sec et sollicitent en permanence les pompes qui tournent à vide.
Pour toutes ces raisons, il est préférable de laisser au moins un ¼ d’essence dans le réservoir.