Réparer une bosse sans peinture
La démonstration est implacable : les deux bosses sur notre voiture cobaye ont disparu, deux accros de la vie quotidienne avec un choc sur l’aile et un autre au beau milieu de la portière, juste assez gros pour ne voir qu’eux en pleine lumière, mais pas assez pour justifier une mise en peinture des panneaux.
Vous savez, les petites bosses provoquées par un coup de portière ou un chariot de supermarché, juste énervantes, qui se rappellent à vous tous les matins... Eh bien elles ont disparu en moins de deux heures et demie grâce aux chasseurs de bosses, une entreprise située dans l’est de la région parisienne.
Dans son local, qui n’est surtout pas une carrosserie, il n’y a ni cabine de peinture, ni ponceuse, ni poussière ou autres grands coups de marteau, mais un outillage ultra-spécialisé pour faire ressortir les petits coups sur les carrosseries.
Le principe du débosselage est simple, le défaut est repoussé par l’intérieur de l’élément de carrosserie.
Vous savez, les petites bosses provoquées par un coup de portière ou un chariot de supermarché, juste énervantes, qui se rappellent à vous tous les matins... Eh bien elles ont disparu en moins de deux heures et demie grâce aux chasseurs de bosses, une entreprise située dans l’est de la région parisienne.
Dans son local, qui n’est surtout pas une carrosserie, il n’y a ni cabine de peinture, ni ponceuse, ni poussière ou autres grands coups de marteau, mais un outillage ultra-spécialisé pour faire ressortir les petits coups sur les carrosseries.
Le principe du débosselage est simple, le défaut est repoussé par l’intérieur de l’élément de carrosserie.
Sans démontage et sans peinture
Véritable spécialité, le débosselage est une pratique qui a été initiée sur les chaînes de montage automobile pour les véhicules neufs avant leur mise à disposition pour le grand public, d’abord aux États-Unis puis en Grande-Bretagne et en France au début des années 90.
Pour José De Olivera, le patron des chasseurs de bosses, il existe une seule limite à son activité : la difficulté d’accès.
Sur ce point, le choc sur l’aile avant de notre auto n'est accessible qu'après démontage de l’habillage intérieur en plastique, maintenu par quelques clips, puis le champ est libre pour faire ressortir la bosse avec un « hook », le nom des outillages en forme de crochet. Le « chasseur » utilise alors le pneu du véhicule comme point d’appui pour exercer son art.
Pour José De Olivera, le patron des chasseurs de bosses, il existe une seule limite à son activité : la difficulté d’accès.
Sur ce point, le choc sur l’aile avant de notre auto n'est accessible qu'après démontage de l’habillage intérieur en plastique, maintenu par quelques clips, puis le champ est libre pour faire ressortir la bosse avec un « hook », le nom des outillages en forme de crochet. Le « chasseur » utilise alors le pneu du véhicule comme point d’appui pour exercer son art.